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Marina

Marathon Vert Rennes Konica Minolta, Bretagne - France

Dernière mise à jour : 5 mars 2020


Le marathon de Rennes ou comment ne pas écouter le coach et se prendre une grosse claque! J'ai pris des risques et ça n'a pas payé: retour sur le marathon vert de Rennes.

La préparation

Mon objectif cette année était de faire mon retour sur marathon avec en début d'année le marathon de Barcelone. Mais pour progresser sur marathon, il faut améliorer sa vitesse et donc ses références sur 10KM et SEMI. C'est ce que j'ai tenté de faire au cours d'une préparation estivale avec un premier cycle rapide et un second cycle spécifique semi-marathon. Hélas, les conditions ne furent pas au rendez-vous à Budapest pour valider cette approche. Néanmoins, une partie du travail a été réalisée et je pars donc sur une préparation marathon de 6 semaines. Avec le recul, quelques séances longues m'ont manqué. Je n'ai pas dépassé les 32km ni fait de grosses simulation à l'allure. D'ailleurs, j'avais même du mal à tenir l'allure de 4'25 en raison de la fatigue du moment. C'est pourquoi, j'ai revu l'objectif à la baisse: valider 3H10 pour pouvoir prétendre à mieux en 2017.

Pourquoi le marathon de Rennes?

Pas très exotique comme destination, mais plusieurs raisons ont poussé mon choix vers le marathon de Rennes.

"COURONS POUR LA PLANETE" Donner un sens à des kilomètres

Le marathon "Vert" de Rennes se nomme ainsi de par son souhait de s’inscrire dans le mouvement éco responsable : en effet, le marathon Vert s'engage dans une démarche éco-durable avec une charte de l'éco-coureur qui invite à limiter ses déplacements

1km parcouru = 1 arbre planté

La solidarité est un axe principal du Marathon Vert. Le Marathon Vert associe la course à la plantation d’arbres en Ethiopie, avec la Fondation Yves Rocher sous l’égide de l’Institut de France pour reboiser et fournir du travail aux femmes de la région du Tigré avec la fondation "Green Ethiopia" (groupe Yves Rocher).

Un marathon en famille

Courir à rennes, en Bretagne c'était aussi un retour aux sources et l'occasion de courir en famille.

Deuxième marathon le plus rapide de France après Paris

Ce marathon est le deuxième plus rapide de France derrière Paris. Néanmoins, le parcours pour cette 6ème édition a légèrement été modifié. Il est donc impossible pour le moment de savoir s'il sera aussi roulant que les années précédentes. Cette année il sera également le support des championnats de Bretagne.

S-1 : Une semaine mouvementée: les semaines de décharge sont souvent difficile à gérer. Etant donné que ma préparation est particulièrement express (6 semaines entre le semi de Budapest et le marathon de Rennes), seule la semaine du marathon est allegée, donc pas le temps de cogiter. En revanche, c'est la météo qui s'agite que ce soit du côté de Toulouse ou de Rennes. Après un mois d'octobre avec un ensoleillement et des températures clémentes, la météo en décide autrement pile le jour du marathon: il aura fait très beau le jour d'avant et le jour d'après! Ce n'est vraiment pas de chance! Et c'est donc finalement seule, que je fais le voyage vers Rennes pour retrouver la famille. J'y arrive la veille du marathon.

Le village marathon

C'est donc après le déjeuner en famille et une petite sieste que nous prenons la direction du village marathon pour retirer nos dossards: le mien et celui de mon frère qui fera une partie du marathon avec moi (les 10 derniers kilomètres). Pour ma part c'est un SAS préférentiel, et pour Jérémy qui hérite du dossard de Guillaume ce sera un SAS Elite. Petit marathon par rapport aux grands marathons internationaux auxquels je suis habituée: le retrait se fait donc très rapidement, sans attente. Surprise, pas de tee-shirt, comme à Paris, il faut être "finisher" pour mériter le tee-shirt! Yves Rocher en sponsor nous a bien gâté en produits cosmétiques.

Nous avons donc tout le temps pour déambuler dans le village marathon ou plusieurs exposants sont là: autres marathons de la région et de France, marques, sponsors, etc. Le tout en fond de musique bretonne pour le côté local!

Il y a également un stand de la Boutique du Marathon Vert et un autre sur le Recyclage. Mais nous ne nous éternisons pas. Il est déjà temps de rentrer et faire le petit footing de veille de compétition.

La course:

Nuit courte et petit-déjeuner express car le gâteau sport n'est pas passé. je fais donc l'impasse une fois de plus et c'est à jeun que je pars rejoindre le départ du côté de Cap Malo. Maela est au top: elle connaît bien le trajet, l'organisation, etc car elle a fait le marathon en relai l'an dernier. Et même le chien monte vite dans la voiture sans rechigner! A 7h30, j'ai déjà tous mes supporters sur le pied de guerre.

Le parcours: de Cap-Malo à Rennes

Le départ

L'accès aux différents SAS se fait facilement et est très bien reglementé. Je me retrouve près de Gwenaëlle Guillou, une grande championne et en équipe de France des 100KM. On papote, je lui parle de Jérôme Bellanca, notre star local du 100 bornes lui aussi en pleine prépa pour les mondiaux et fidèle à son RDV annuel au marathon de Toulouse ce même jour. C'est donc une bonne sortie pour elle sans chrono, juste au cardio. Le soleil commence a se lever, le départ va pouvoir être donné par Christophe Lemaître, parrain de l'épreuve.

Un départ rapide en légère descente. Sur le papier, le parcours est relativement descendant sur les 14 premiers kilomètres. Il ne faut pas s'emballer tout en laissant aller sans faire d'efforts. C'est loin d'être mon premier marathon, je sais donc que c'est une course d'attente et que tout commence qu'au 30ème kilomètre. De plus, aidée par son super coach Jérôme, la stratégie est claire et l'allure bien définie d'autant que je n'arrive pas en grande forme et pas reposée.

Le départ est lancé et emportée par l'euphorie ou l'impatience d'en découdre, je déroule. En plus, je me sens particulièrement légère :merci les collègues pour les quelques jours de maladie qui m'ont fait perdre quelques kilos pile la dernière semaine! Un premier kilomètre rapide en 3'48. Pas de panique, je ralentis pour trouver mon rythme: 4'00. Bon, sans faire d'effort, je reste dans les 4/4'05. Les jambes vont bien, le cardio aussi, je n'ai pas l'impression de forcer. J'essaie de tempérer en 4'10/4'15.

km 5 à 15km : euphorie des premiers kilomètres

Passage au 8ème, je sais que la famille sera là. je cherche de loin le chien "Looping" bien repérable. Puis j'entends les encouragements, c'est chouette! Je devine qu'ils sont surprise de voir voir dans le Top 10 féminin et surtout devant les les ballons meneurs d'allure. Ce n'est qu'au bout de 9KM que le ballon des 3heures me rejoint. C'est tout un gros peleton qui me reviens dessus. Je reste néanmoins devant. Mais j'ai conscience d'être beaucoup trop rapide. Je suis loin de viser 3H sur marathon! Alors, petit à petit, j'essaie de glisser, sans tomber car ça chahute là-dedans, vers l'arrière du groupe. Passage au 10km en 41'50 (au lieu de 44'10). Et pourtant ça ne fait pas que descendre, ça remonte sec aussi. Et le vent est pour l'instant de face. Je sais qu'à partir du 14è et ce jusqu'au 34è, je l'aurai de face: des rafales de 40km/h. Je reste lucide et en même temps, je me réjouis de me sentir si bien: je vole.

km 15 à 25km: on déroule l'allure

Pendant de longues lignes et courbes, on traverse la campagne et encore la campagne. Peu de supporters sur le bas côté, pas de bandas comme sur des grands marathons. C'est assez calme, et je suis tout le temps seule. Impossible de trouver un groupe ou même quelqu'un à accrocher. Je regrette de ne pas avoir de musique sur moi. Et puis, le vent se fait sentir même si on est parfois abriter par des talus et grands arbres. En tout cas, il ne fait pas chaud ni trop froid. C'est la bonne température poru le moment.

Je mène mon bout de chemin vers le semi-marathon qui me donnera un bon repère pour la suite. Alors, je déroule tout sourire. Et je repense au marathon de Barcelone où j'avais de bonnes sensations mais j'avais mis le frein de peur de le payer plus tard. Alors, malgré la petit voix du coach, je me dis que c'est le jour pour tenter, pour prendre des risques. J'ai bien conscience pourtant que mon entraînement et ma forme du moment ne me permettent pas de le faire, d'aller jusqu'au bout à cette allure. Mais si on ne tente pas, on ne saura jamais! Alors, je fonce vers le passage du semi-marathon.

Passage au semi: 1h31

Il commence à y avoir plein de monde, ça fait du bien! Il y a peu de féminines devant et derrière alors je suis beaucoup encouragée. Ca fait du bien, ça aide et ça porte. L'arche du semi arrive. En fait, il s'agit également d'une zone de relai, c'est pour cela qu'il y a autant de monde d'un coup! Petit coup d'oeil au chrono qui s'affiche près du speaker: 1h31'52! Dire qu'en mai dernier j'ai galéré pour faire ce temps à Genève ... décidément je suis beaucoup trop rapide. Mais tous les signaux restent au vert à part ce mal au ventre depuis le réveil et ce petit-déjeuner avorté.

km 25 à 30km: on tempère pour revenir autour de l'allure visée (4'30/km)

Après ce premier repère, je commence à me poser un tas de questions. Pas malin d'être esseulée: pas une seule distraction aux alentours. Nous avons désormais le vent en pleine face et ce n'est pas facile de lutter. Il faut que je ralentisse pour enfin respecter mon allure de course. Je vais donc doucement descendre vers 4'25/kilo. Encore des côtes. Elles sont bien plus longues et plus fréquentes. Je fais en sorte de gérer l'allure dans les montées et rattraper le temps dans les descentes. Mais ces tronçons sont casse-pattes.

Les répétitions de côtes et descentes ne sont pas faciles à encaisser. Je n'ai pas du tout intégré cet aspect-là dans ma préparation ni fait de renforcement plus prononcé. Je sais que ça remonte au 30ème puis sur la fin ... le doute s'installe. J'ai moins la banane: un peu marre de la campagne, bien que magnifique sous ces couleurs d'automne; marre de ce parcours de ces bosses et surtout ce vent froid qui ne cesse. J'ai hâte de retrouver mon frère vers le 30 ou 32è kilomètre.

Km 30: fin des illusions, début du cauchemard

La montée vers le 30ème est longue, tellement longue. J'avais donné RDV à mon frère entre le 30KM et 32KM de façon à ce qu'il m'accompagne sur les 10 derniers kilomètres. Mais ça ne cesse de grimper. les kilomètres se font de plus en plus long. Si déjà au 30ème ça commence à aller moins bien, la fin s'annonce difficile. Et je le sais. J'essaie de ne pas paniquer, de m'auto-persuader. Je déteste tellement les côtes! Ma pubalgie tient bon, c'est ma tendinite du moyen fessier qui se réveille de façon aigüe puis des violentes douleurs aux hanches. J'ai trop tapé en descente et tiré en montée. Je prie pour que mon frère ce soit posté au 30ème et non au 32ème ... Et non, c'est Maëla et ma mère qui sont les premières ... mais pas de Jérémy en vue. Maëla est toujours à fond et m'indique mon classement: 13ème féminine et 8ème française. Elle assure Maela, je crois qu'elle finira la journée sans voix! Au 30KM je jete un oeil rapide au chrono:2h14. Je suis désormais sur les bases de 3h08 ... L'objectif des 3h10 s'léoigne considérablement car mes hanches me font souffrir et je suis toujours barbouillée. J'ai avalé un bout de gel au 25KM, pas plus. Et une descente plus loin, j'aperçois mon frère: quelle idée de s'être mis en blanc! Pas très original et surtout pas très visible. Encore moins pour suivre un point de mire. Je lui fait un grand signe. Comme Maela, il est à fond, il prend son rôle de lièvre à coeur. Mais dès que j'arrive à son niveau je lui dis déjà que je ne vais pas être capable de tenir les 4'25, qu'on va essayer de tenir 4'30. Je suis tellement déçue. Il va devoir galérer pendant 10 bons kilomètres à une allure d'escargot. Il va donc pouvoir me ravitailler et aider les concurrents autour de moi!

Au 36KM, c'est la désillusion: le ballon des 3h15 me double avec une fémine dans le lot! Je ne m'étais pas rendu compte de perdre autant de vitesse. Je n'ai même plus envie de finir tellement le chrono est minable. Je n'étais pas venue pour faire cette course et encore moins ce temps, le tout devant la famille. J'ai du mal à me motiver malgré les encouragements de mon frère. Il me force à manger. C'était la consigne: me forcer même si je refuse. J'attends encore quelques kilomètres avant d'avaler ce gel au 38KM car je commence à ne plus y voir. Pas malin ce tee-shirt blanc pour se répérer quand on vascille. Je colle mon frère, il essaie de me pousser. Enfin, la ville: 40ème kilomètre et la ville de Rennes pointe son nez, enfin un bout! Maela est à nouveau là, on entend qu'elle sur le bas-côté! Je ne la vois pas mais je l'entends. Puis, encore une belle côte avant de finir. Deux féminines me doublent sans que je puisse réagir: je n'en ai même plus envie. Une autre féminine est en perdition, je parviens à la doubler et elle m'encourage: très sympa! La visite dans Rennes est expresse! La ligne d'arrivée ne se voit pas, le speaker ne se fait pas entendre et le public n'est pas là. Il faut dire que depuis pluseurs kilomètres on commence à avoir des gouttes, puis de la pluie. Le ciel est gris et menaçant, il est temps de se secouer pour passer cette ligne d'arrivée. Passage sur les pavés: je devine que c'est la place du Parlement de Bretagne, mais je ne l'ai même pas vu concentrée à mettre un pied devant l'autre pour en finir le plus vite possible. Puis sur un tapis vert. Non ce n'est pas encore l'arrivée: petit tour autour du square Charles-de-Gaule pour boucler les 195 derniers mètres et enfin on devine l'arche.

L'arrivée: la déception 3h17'49

On franchi à deux la ligne. j'avais tellement espéré faire mieux et finir mieux avec mon frère. J'ai pris des risques pour une fois et ça n'a pas payé. Je me console par un Top10 féminin (8ème française, et 13ème au scratch). A peine la ligne franchie qu'une véritable saucée s'abat sur nous.

Résultats des premiers:

Elite Messieurs.

1. Justus Kipkosgai (Kenya), les 42,2 km en 2h09’29’’

2. K. Mutai (Kenya) - 02:09:44

3. A. Kigai (Kenya) - 2:09:49

4. K. Kipsang (Kenya) - 02:10:55

5. E. Sikuku (Kenya) - 02:11:05

6. J. Chesari (Kenya) - 02:16:14

7. K. En-Guadi (CJF Saint-Malo) - 02:23:57

8. J-P. Mvuyekur (Amiens UC) - 02:25:02

9. S. Dode (Endurance 72) - 02:26:47

10. J-O. Onami (Pacé En courant) - 02:28:20

11. E. Poulizac (Bruz Athlétisme) - 02:28:52

Elite Dames.

1. Hellen Jepkurgat (Kenya), les 42,2 km en 2h31’07’’

2. E. Jeptoo (Kenya) - 02:31:58

3. R. Mutgaa (Kenya) - 02:32:36

4. M. Megertu (Ethiopie) - 02:34:33

5. S. Jeptoo (Kenya) - 02:35:24

6. A. Workitu (Ethiopie) - 02:41:32

7. A. Siard (AS Tourlaville) - 02:47:43

8. C. Cornillet (Stade Lavallois) - 02:57:56

9. G. Guillou (Courir à Chateaulin) - 02:59:36

10. K. Smith (ASPTT Tours) - 02:59:55

CHAMPIONNAT DE BRETAGNE:

  • Erwan Poulizac - 2h28, champion de Bretagne de Marathon à Rennes

  • Gwenaelle Guillou - 2h59, championne de Bretagne de Marathon à Rennes

Ravitallement et Organisation hors paire

Nous nous empressons d'aller vers le ravitallement et la salle de récupération, au chaud! L'organisation est au top. Nous récupérons la médaille et le petit paquet d'après-course avec le fameux tee-shirt de finisher et un joli lot Yves Rocher. Je ne me sens pas bien: première fois que je fini aussi mal un marathon. Hypothermie et hypoglycémie enveloppés dans une belle bulle de tristesse!

Retour sur le parcours : le marathon vert porte très bien son nom ! Il est champêtre, campanard et verdoyant. Nous longeons les exploitations agricoles, croisons vaches et chevaux, et traversons de petits villages tout au long du parcours. Nous traversons également de longues lignes droites au bord des champs et talus. Le second semi est plus urbain, avec seulement les tous derniers kilomètres au cœur de Rennes. On y découvre donc très peu Rennes et son centre historique. Un parcours globalement descendant mais très casse-pattes. Il faut y être préparé!

Ce que je retiens du marathon vert:

  • Un parcours venteux: toujours orienté nord-ouest, donc de face pendant 20km

  • Un parcours globalement descendant mais très casse-pattes

  • Un parcours isolé et ennuyant (peu de foule, peu de groupes de musique, pas de distractions urbaines si ce n'est des tracteurs ici et là qui bloquent les routes pour le parcours)

  • Un marathon très bien organisé (navettes, village marathon, ravitaillement, salle bien-être)

  • Une petite ambiance, une faible densité

  • Une météo incertaine

Prise de risques, Folie, Erreurs, voilà les mots qui résument le mieux cette course ou avoue-le j'ai fait un peu n'improte quoi. Je partais avec une ambition raisonnable 3h10 et j'ai bouclé ce marathon Vert en 3h17. Je suis bien entendue très déçue et frustrée de ne pas avoir progressée comme c'est le cas à chaque nuoveau marathon. Je fais moins bien qu'à Paris et qu'à Barcelone. Je ne peux m'en prendre qu'à moi-même car j'ai fait plusieurs erreurs de débutant:

  • Manque de repos et sommeil

  • Courir à jeun un marathon,

  • Ne pas s'alimenter en course,

  • Partir trop vite: ne pas respecter l'allure dès le départ

  • Être impatient: le marathon est une course d'attente!

  • S'emballer et s'entêter à une allure trop élevée

  • Prendre des risques

En marathon, il n'y a rarement de surprises. Si on suit la stratégie, si on respecte les allures et que l'objectif a bien été identifié au vu de la préparation, tout doit bien se passer. Quand on s'amuse à la dernière minute à tout chambouler et ne rien respecter des consignes du coach, on a toutes les chances de prendre le mur. J'ai pris des risques et ça n'a pas payé. j'en tire en revanche de nombreux enseignements et néamoins la satisfaction d'avoir "tenté".

Bref, j'ai fait un peu n'importe quoi pendant ce marathon de Rennes mais ce fut une belle journée avec la famille.

Merci aux organisateurs d'avoir maintenu cette manifestation sportive malgré le contexte en France et les difficultés à mettre en place les msures nécessaires. On ne peut pas parier sur les conditions météo: vent, rafales, pluie, n'ont pas aidé à mieux vivre ce marathon douloureux cette fois-ci. Merci à la famille qui a été comme toujours au top! Maintenant place aux vacances!

Et merci au Pink Runner pour le dossard qui a permis à mon Frère de courir à mes côtés!

Que visiter à Rennes: si vous restez quelques jours en Bretagne, sur rennes mais aussi ses environs voici une eptite liste des centres d'intérêts à ne pas manquer sans compter les dégustations culinaires qu'il faut aboslument goûter post-marathon.

  • Le parc du Thabor

  • La Cathédrale Saint-Pierre, l'Abbaye Sainte-Melaine, le Couvent des Jacobins

  • Le Palais du Parlement de Bretagne

  • L'hôtel de ville de Rennes et la Place de la Mairie

  • Le vieux Rennes et ses maisons médiévales à colombages

  • La Rue Saint-Michel alias la Rue de la Soif

  • La Place Sainte-Anne, la Place des Lices

  • Se promener sur les bords de la vilaine ou courir le long du canal Saint-Martin

Autour de Rennes: Tourisme Bretagne

  • Fougères

  • Dinan

  • Dinard

  • Saint-Malo

  • Etc.

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