Enfin le sub3 !
Compte-rendu du Marathon de Francfort 2019 avec un chrono de 2h56’58. Un record personnel à la clef et la barre des 3h franchie #breaking3
On ne va pas se mentir, Francfort ce n’est pas vraiment la ville la plus sexy pour aller courir un marathon. Mais quand on cherche uniquement le chrono, ce n’est pas ce que l’on regarde. Et honnêtement, je n’ai rien vu de la course ! Après avoir manqué la barre mythique des 3h à Valencia (lire ici) l’an dernier (3h08), puis à Paris (3h03) cette année (lire ici), j’avais à cœur de réunir les conditions idéales au record, et Francfort y répond tout à fait avec son parcours plat, roulant et avec une très forte densité. Berlin était éliminé d’office : trop tôt, prépa en août à Toulouse compliquée, pas prête, etc. Voici les avantages de Francfort :
Un des premiers marathons en Allemagne : Les performances enregistrées depuis 1981 font du marathon de Francfort un des plus populaires. Aujourd’hui c’est l’un des marathons les plus attendus dans le monde. De plus, il possède le label IAAF Gold Race.
Un des plus roulants en Europe: Le tracé rapide du marathon de Francfort a toujours été considéré comme un terme de comparaison par l’élite des marathoniens. Un parcours ultra plat le long du Main avec de longues lignes droites. La deuxième partie de course est la plus roulante, à partir du demi-tour au 27km (point occidental de la course).
Une pluie de records : Le niveau des performances est particulièrement élevé. L’allure moyenne des Finishers de Francfort est de 3’57 au km. Plus d’une quinzaine d’hommes est sous les 2h10 et une dizaine de femmes sous les 2h30 ! Un RDV très convoité par l’élite et les coureurs amateurs en quête de leur RP (record personnel).
Une arrivée en fête : Une arrivée dans la salle des fêtes (FestHalle) particulière, sous des airs de discothèque. Les derniers mètres sur le tapis rouge parmi de nombreux spectateurs et accompagnés par une pluie de confettis, musique, effets de lumière et du show des pom-pom girls sont magiques.
La course au Bretzel : En plus d’être populaire, le marathon de Francfort est convivial et original ! Au départ les odeurs de Bretzel surprennent tout comme le ravito d’après-course où tout le monde sur rue vers le stand de Bretzel géants. La vraie course du Bretzel a lieu la veille : un petit 5km où tous les finishers repartent avec leur Bretzel géant en guise de médaille/souvenir.
Une préparation différente
Autant pour les marathons de Valencia 2018 et de Paris 2019, j’avais travaillé la vitesse et avec une base de vitesse confortable (3’45/km) par rapport à mon allure marathon (4’15/km), autant pour ce marathon de Francfort, nous avons changé de stratégie avec le coach. J’avais trop enchaîné après Paris avec un stage triathlon. La coupure en course à pied trop longue, la reprise trop courte. Du coup, on oublie la vitesse et on part principalement sur du travail d’allure spécifique (4’10/4’15 au kilo). Je démarre dès cet été avec le marathon des étoiles en duo (lire ici) pour reprendre le foncier tranquillement jusqu’au triathlon L du MontblancMan (lire ici). Le premier mois est dur mais il faut serrer les dents comme me dit Olivier Gaillard. Puis, plus de 12 semaines de préparation avec 3 méso cycles. Un seul dossard un mois avant le marathon : le semi-marathon de Tournefeuille sur de la charge. L’allure est là, bien martelée. Il n’y a plus qu’à tester sur marathon. Plusieurs options pour concrétiser et casser cette barre. Je me donne jusqu’à la fin de l’année avec en Plan A, Francfort (Octobre), Plan B (Novembre), San Sebastian et Plan C, Malaga (Décembre). La stratégie du coach pour Francfort : on part à fond et on voit jusqu’au 30km. Si ça passe bien, on tient jusqu’au bout, si ça tire déjà on bâche et on passe au plan B. A Francfort, on tente donc le tout pour le tout. C’est le moment de prendre des risques, je pars donc avec moins de pression puisque tout ne se joue pas sur un seul marathon.
Les temps forts de la prépa:
S1: 83km (4*2000)
S2: 116km (6*1000, 3*3000)
S3: Triathlon L du MontblancMan (2k nage, 70 vélo >2000m D+, 21,1k cap)
S4: 74km - Vacances en Italie (vélo)
S5: 116km (4*4000)
S6 : 119km (3*5000)
S7: 129km (3*6000)
S8: 96km - Semi-marathon de Tournefeuille
S9: 92km (7000,5000,3000)
S10: 120km (12*500, 12*1000, 3*8000)
S11: Repos - Marathon de Toulouse en Relais
S12: Repos - Marathon de Francfort
Ma course au sub3
Francfort, Guillaume l’a déjà fait (lire ici). Pour moi, c’est la découverte. J’ai tellement hâte d’être au jour J. Il faut dire que je rêve de cette fameuse ligne d’arrivée depuis des semaines avec ce chrono au-dessus de la tête. Hors de question de voir 3’00’’01, je sais déjà que je donnerai tout dans la dernière ligne droite pour ne pas échouer pour quelques secondes. Bref, la semaine de travail passe assez vite et on est déjà vendredi.
Retrait du dossard
Je préfère éviter la cohue du samedi et retirer le dossard dès le vendredi, premier jour d’ouverture du village marathon qui se tient dans la FestHalle. C’est l’occasion de repérer le trajet et le lieu du départ. Je ne m’attarde pas et file directement dans la zone athlète où seuls les participants peuvent y entrer. Je retire rapidement mon dossard et la puce. Pour le Race Packet, il faut sortir et aller plus loin le récupérer. Il est très succinct : beaucoup de paperasse, une bière et une mini serviette decathlon. Je file à l’hôtel, ce soir pas de footing.
Veille de course
Samedi, c’est le jour le plus long. C’est vraiment là que le stress monte et que les doutes commencent à s’installer. L’attente est pénible, l’impatience d’en découdre est grande. Heureusement, ma copine Carol-Ann m’a rejoint pour ce week-end de compétition. Elle va m’accompagner sur quelques portions de la course et m’encourager. Je prépare tout la veille: dossard, épingles, tenue, chaussures NB1400. En début de soirée, on part pour le mini footing de 20min avec quelques lignes droites. C’est la nuit du passage à l’heure d’hiver. Non seulement on gagne une heure de sommeil mais le départ n’est qu’à 10h ! On va pouvoir bien dormir !
Jour J : RACE DAY
Après une longue nuit, j’arrive bien fraîche et reposée sur la ligne de départ. Les conditions ne sont pas tout à fait idéales à cause d’un petit vent. Je ne suis pas inquiète car avec cette densité, j’aurais toujours de grands gaillards derrière lesquels m’abriter. Il a plu pendant la nuit, la chaussée est mouillée mais ciel couvert ce matin. Et surtout, les températures sont fraîches : environ 11° et ça ne devrait pas monter à plus de 17/19° d’ici midi. Ça s’annonce plutôt bien. C'est tout ce que j'aime.
Echauffement sous les odeurs des vendeurs ambulants de bretzel. Puis je rentre dans le SAS « Asics » <3h. Particularité de Francfort : pas de SAS préférentiel ni SAS <2h30. Du coup, ça en fait du monde dans le SAS. Surtout qu’il n’y a qu’une allée pour le départ. Ça impressionne pas mal !
A 10 heures la meute s’élance. Le premier kilomètre est très encombré mais heureusement les routes sont très larges et on peut très facilement doubler. Il faut quand même faire attention aux rails du tramway. Ça part forcément vite. J’essaie de me calmer, mais tout le monde pousse et on est embarqué par la masse. Le début de la course est assez sinueux, on tourne dans le centre-ville. Pas le temps d’avoir froid, j’enlève vite mon tee-shirt en coton pour être en débardeur. Les sensations sont plutôt bonnes. Je suis concentrée sur ma respiration. Je sens que ça va vite mais impossible d’avoir un repère : tous les GPS « bugguent » à cause de la skyline! C'est très perturbant.
5KM
Passage en 20’06 au 5km. Moi je lis plutôt 20’46 à ma montre, donc moins de 21' dans ma tête. Ça reste rapide. Mais je sais que comme à Valencia, le troupeau ne va pas se tasser avant le 10km. Il y a un tas de filles qui sont devant, qui me passent. Je ne double personne.
10KM
Les kilomètres défilent à toute vitesse et je passe le 10km en 40’32. Cette fois-ci, il y a une grande borne chronométrique. Je vois tout de suite sous les 41’ ; petit moment de panique, mais je sais qu’ensuite on passe le pont pour longer le fleuve avec une très longue ligne droite pour temporiser. J’ai toujours les mêmes filles en ligne de mire. Je prends bien le temps de boire à chaque ravito. Mais j’essaie de ne pas laisser filer devant. Le pont est tout plat, nickel, vu que c’est la seule difficulté du parcours que j'ai repéré (c'était sans compter sur la côte du 27km!). Carol-Ann est là pour m’encourager c’est top ! Je calme un peu l’allure jusqu’au 15è. Je retrouve un rythme plus raisonnable vers 4’10/kilo. Autant je n’ai rien eu le temps de voir du centre-ville, autant là près du fleuve, c’est tout de suite plus agréable avec des maisons à colombages.
15KM
Passage en 1h01 au 15KM. Je regarde ma main, là où j’avais écrit mes temps de passage tous les 5km. Je suis dans les clous (en fait je suis beaucoup trop rapide, plus d’une minute d’avance !). Je suis bien, toujours dans mon groupe et le revêtement est idéal. C’est un billard. Je suis toujours dans mon groupe bien à l’abri. Nous sommes plusieurs féminines.
20KM
Un peu avant le semi, grosse ambiance au 19K car c’est un point de relais. Mon groupe accélère et s’étire. Je suis en fin de peloton. J’ai hâte de voir le passage au semi pour avoir un véritable indicateur car pour le moment je suis le mouvement. Petit arrêt au ravito du 20KM et premier gel. Pour une fois, je prends le temps de manger un gel et de bien boire pour le faire passer. Du coup, je perds mon groupe.
21KM
Passage au semi en 1h27'44. Je visais entre 1h27 et 1h29 de façon à terminer le deuxième semi en 1h29-1h31. Le panneau affiche 1h28. Inutile de vérifier mon antisèche sur la main, je sais ce que ça veut dire: rapide!!! C'est vraiment la stratégie inverse de Paris. Mais je suis bien. Je veux tenter le coup, on verra bien ce que ça donne au 30KM. J’évite de trop cogiter. Je fais l’effort de revenir sur mon groupe mais il s’est un peu disloqué. Je me cale derrière une fille qui semble avoir son lièvre (un gars immense). Elle commence à peiner. Je profite d’un virage pour la doubler vers l’intérieur et me mettre dans la foulée de son lièvre.
25KM
Bien aidé par mon groupe je continue d’avaler les kilomètres, le vingt cinquième est effacé en 1h43’53. Je continue de bien m’hydrater tous les 5KM. Un second gars super sympa se met à mon niveau, me félicite et m’encourage à le suivre. Me voilà donc encadrée par deux grands gaillards, bien protégée. On retrouve enfin un peu plus de spectateurs sur la fin de la boucle. On croise les premiers coureurs. Je cherche Olivier Gaillard de Urban Running, sans le trouver, puis je me disperse. J’arrête aussitôt de papillonner pour me reconcentrer (je n'ai jamais été si concentrée en course!). Grosse surprise, une côte au 27KM. Je fais tout pour m’accrocher à mes deux lièvres improvisés. Pour une fois, je ne rechigne pas en côte. J’espère que je ne vais pas payer cet effort. Heureusement, on tourne dans le quartier de Höchst puis ça redescend. J'ai sans cesse en tête la phrase du coach : "La régularité n'est pas gage de réussite". Je m'efforce de ne pas paniquer et de contrôler le cardio.
La deuxième partie du parcours est vraiment plus roulante. En plus, vent de dos jusqu’à l’arrivée ! Je sais que je dois tenir jusqu’au 36è, jusqu’à l’entrée en ville. Je déroule. Petit à petit le 30KM se rapproche et j’appréhende un peu. Je me focalise sur mes lièvres. Je prends soin de me détendre en descente. Je me permets même de doubler du monde.
30KM #Onlacherien
Passage au 30KM en 2h04’39. Là encore, une borne chronométrique. Je lis 2h05. Je sais que c’est très bon. Trop ? Pour le moment ça va bien. Je souffle un peu trop, mais au niveau des jambes ça tourne toujours bien. C’est un peu plus lourd mais pas de douleurs. Je me donne jusqu’au 32KM pour estimer si ça va suffisamment bien pour aller jusqu’au bout. Car après c’est trop tard pour arrêter et pouvoir basculer sur un autre marathon. Je double deux filles. J’en vois une avec les secours et une couverture de survie sur le bas-côté … Je me mets des œillères, surtout pas de pensée négatives. Je pense à Seb Gamel et sa remarque "gère tes émotions". C'est aussi ce que m'avait dit Jérôme Bellanca: "Apprends à gérer tes marathons avant de passer sur 100k". Le mental c'est mon point faible. Je reste donc concentrée sur ma respiration et les gens devant moi, rien d'autre. Et j'avance.
Les kilomètres passent beaucoup moins vite. Je reste concentrée mais j’essaie de commencer à calculer. Calculer en temps réel ses temps de passage à chaque kilomètre …Déjà qu’à tête reposée, le calcul mental et moi ça fait deux ! Alors, avec trente bornes dans les guiboles, je me mélange les pinceaux. La seule chose de sûre, c’est que le ballon est derrière moi. Je renonce aux calculs, et préfère suivre mes deux lièvres même s’ils m’emmènent sur un rythme trop rapide. Mais nous sommes sur une longue ligne droite de plus de 4 kilomètres, une immense route privatisée pour nous. Le revêtement est nickel!
35KM #RunTheSkyline
Passage au 35KM en 2h25’40. C’est bizarre, j’avais en tête un 2h28… 3min d’avance ça fait beaucoup. Je suis un peu perdue dans mes chronos, mais je sais que je suis sur de grosses bases. Et il n’est plus question de lâcher l’affaire. Je sais que j’irai jusqu’au bout. Le passage au 36è coince un peu. J’appréhende le retour en ville avec tous les zigzags.
40KM #WinTheLongRun
Comme pour le début de course, dès qu’on rentre en ville, les GPS affichent tout et n’importent quoi ! Et c’est la panique ! Je vois du 5’15 au kilo, 4’50, etc. Je sais que ça ne correspond pas à mon rythme, je le sens. Mais je relance, je me force à accélérer, accrocher les coureurs de devant. Ce n’est plus le doute, mais la peur de passer à côté des 3h qui commence à m’envahir. Alors, je m’accroche. C’est dur mais je m’accroche. Je décompose cette dernière portion de 6km : 3*2000, 4000-2000. Je me remémore mes grosses séance de la prépa (des 12*1000, des 4*4000, des 3*8000 etc.) 37KM, Carol-Ann est là tout à coup et me crie que je suis large dans les temps ! Mais je commence à subir. Et j’ai soif. Ravito au 38km, trop loin dans un virage. Je rumine. Du coup, au 40km je m’arrête et je bois. Les deux derniers kilo sont terriblement longs. Je m’affaisse. J’ai une fille devant, une petite crevette, je reviens dessus mais elle accélère à nouveau. Elle va tellement vite! Du coup, elle me donne l’impression de ne plus avancer. On croise les coureurs de derrière. Je croise le ballon des 3h !!! Il est largement à plus de 500m. Le calcul est rapide dans ma tête (cette fois c’est simple !). Le ballon vise 2h59, 500m c’est 2min, je suis en 2h57, whaouu ! Je me dis que c’est un chrono énorme, qu’il faut grappiller la moindre seconde. Mais je peine tellement sur la fin. Je ne vois pas du tout où est l’arrivée. Je ne vois même pas le panneau des 42K. Soudain, Carol-Ann est là ! Elle a demandé à la bénévole de finir avec moi et on la laisse passer pour les derniers 200m. On se regarde, elle me dit que c’est dans la poche, puis on entre dans la FestHalle et là sans réfléchir je me mets à sprinter comme une folle, juste au cas où, juste pour être sûre d’être vraiment sous la barre des 3h Verdict : 2h56’58. Je n’ai pas réussi à lire le chrono, je ne visais que la ligne au sol. J’ai zappé les pom-pom girls, j’ai zappé la photo finish entre copines qu’on avait imaginée avec Carol-Ann. Bref, j’ai tout donné jusqu’au bout pour ne rien regretter.
2h56’58
Je passe la ligne en 2h57’17 (temps brut), mon temps réel (puce) étant de 2h56’58. Comme quoi, ça valait le coup de sprinter et de casser sur la ligne d’arrivée ! Je suis heureuse et à bout. Je tombe par terre et je pleure. Je n’ai plus de force, j’ai tellement mal aux pieds et aux jambes. C’est la plus belle arrivée de mes courses. L’ambiance est énorme. Avec ce chrono j’ai atteint mon graal, pas sûre que j’arrive à faire mieux un jour … mais ça c’est ce sera une autre histoire car pour l’instant je profite ! Je ne sais pas encore comment je vais rentrer et prendre mon avion car l’après-course est compliquée mais je m’en fiche, le chrono est là ! Je ne sais plus réfléchir, je ne sais plus comment rentrer à l’hôtel. Je plane.
Une fois la ligne franchie, c’est un drôle de parcours pour avoir sa médaille et un ravitaillement. Petite déception, pas de tee-shirt finisher … en revanche, on a droit à l’énorme bretzel, mais je ne suis pas en état de supporter les odeurs. L’après-course est vraiment difficile !
Conclusion #ThisIsYourDay
Une course pour le chrono. J’étais venue pour le chrono, pas pour visiter. La preuve, je n’ai rien vu de la ville ni du parcours tellement concentrée sur ma course, mon rythme, les temps de passage, les coureurs devant moi, etc. J’y suis arrivée avec une énorme envie et une grosse prépa en termes de quantitatif. J’ai pris de gros risques avec un départ rapide. Au final, un 1er semi en 1h27’44, un 2nd semi en 1h29’14. J'ai couru crispée, tendue et concentrée sans jamais me laisser envahir par les émotions (pas de moment d'euphorie pendant la course, ni de crise de larmes incrontôlables). Tout est sorti une fois la ligne franchie. Maintenant je peux passer à autre chose, et faire de nouvelles courses pour le plaisir ou le tourisme !
Je recommande vraiment ce marathon. Un vrai régal sur le parcours avec des encouragements tout du long et une organisation milimétrée et rôdée. Excepté l'aléa météo, il est propice à la performance, même si Valencia reste mon préféré en termes de parcours, et Barcelone pour l'ambiance.
Je remercie du fond du coeur Jérôme qui me prépare mes plans d'entraînement et les modifie constamment. Et merci à mon entourage, la famille, les amis et les orangettes pour leur soutien pendant cette prépa et les moments de doutes.
Résultats
Place (M/W) : 58è
Place (AC) : 8è
Place (Scratch) : 771
Temps net : 2’56’’58
Temps brut : 2’57’’17
Total min/km : 4’12
Infos pratiques
Retrait des dossards : sur le lieu du départ, au parc des expositions Messe Frankfurt
Accès au départ : les transports en commun sont gratuits avec le dossard le jour de la course. Privilégier le Tram ou le Métro.
Consigne : 4€, non compris dans le prix du dossard (ou en option)
Vestiaires, Douches et Massages : disponible après course dans le parc des expo.
SAS de départ: SAS assez étroits, accès règlementé mais peu rigoureux, possibilité d’enjamber les barrières
ASICS : élites et <3h00 ;
BMW : 3h00 – 3h15 ;
Stadt Frankfurt : 3h15 – 3h30 ;
Mainova : 3h30 – 3h45 ;
Rosbacher : 3h45 – 4h00 ;
Messe Frankfurt : >4h00 et coureurs n’ayant pas indiqué de temps.
Meneurs d’allure : 2h59, 3h14, 3h29, 3h44, 3h59, 4h14, 4h29, 4h44, 4h59 ou 5h29.
Barrière horaire : 6 heures.
Ravitaillements : aux kilomètres 5, 10, puis tous les 2.500 mètres à partir du km 12.5.
Live tracking : suivi en direct sur internet et sur l’appli
Marathon relais : départ simultané des deux course (marathon + relais) avec possibilité de courir les deux en même temps pour le 1er relayeur.
Kids race : course enfants la veille du marathon
En bref
Date : dernier dimanche d’octobre
Nombre de participants : 15 000
Heure de départ : 10h (attention passage à l’heure d’hiver)
Lieu de départ et d’arrivée : FestHalle sur l’avenue Friedrich Ebert Anlage
Dénivelé : D+ 28m
Prix du dossard : entre 70€ et 100€
Contact : mail@frankfurt-marathon.com
Site web : http://www.frankfurt-marathon.com
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Hastag : #runtheskyline #mainovafrankfurtmarathon